Au Chili, près de 70 organisations sociales ont manifesté devant le bureau du procureur national pour exiger la ré-ouverture de l’enquête sur la mort de Macarena Valdes. Jusqu’à présent, seule la thèse du suicide a été considérée par le procureur pour expliquer le décès de Macarena Valdez, leader sociale du territoire de Tranguil, dans la commune de Panguipulli, survenu il y a plus d’un an et demi.
Francisca Fernández du Movimiento por el Agua y los Territorios (Mouvement pour l’eau et les territoires), a souligné que les organisations sociales et la famille exigent au procureur des réponses en ce qui concerne la mort de Macarena Valdes.
La famille Collio-Valdes et les organisations sociales ont affirmé qu’il ne s’agit pas d’un suicide et ont rappelé que, peu de temps avant son décès, Macarena Valdez avait été victime de menaces de mort en raison de sa lutte pour la défense du territoire.
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