Autre preuve de l’état de siège et de la suppression des garanties et des libertés à Andalgalá, Enzo Brizuela est à nouveau convoqué dans une affaire de « menaces et de violence sexiste » à l’encontre de la docteure Passarelli (la même docteure Passarelli qui a refusé de lui prodiguer des soins lorsqu’il était injustement détenu et qu’il faisait une grève de la faim pour protester contre la justice corrompue de l’État).
L’Assemblée El Algarrobo demande que ce nouvel abus soit rendu public et exige que l’on « cesse de persécuter, de réprimer et de poursuivre les défenseur·e·s de l’eau et de la VIE ».
Ce mardi 21 à 9 heures, rejoignons-nous devant le bureau du procureur pour défendre la liberté d’Enzo et de nous toutes et tous.
Texte originale et photo: Resumen Latinoamericano, le 20 juin 2022