Aujourd’hui, nous honorons la mémoire des 45 000 victimes de disparitions forcées pendant le conflit armé au #Guatemala.
Les disparitions forcées font partie de la terrible histoire récente de notre pays, elles ont été utilisées pour instiller la terreur et constituent un crime contre l’humanité et une grave violation des droits humains. Les agents de l’État sont responsables de la disparition de plus de 45 000 personnes, dont 5 000 enfants, pendant le conflit armé interne et la répression brutale des gouvernements dictatoriaux.
Le Risg se joint à la demande de vérité totale et de justice intégrale des familles des victimes et de la société dans son ensemble, qui méritent de connaître cette vérité, cette justice et cette réparation. En cette date douloureuse, nous saluons et reconnaissons la conséquence et l’engagement de tous les groupes de parents de victimes, des droits humains et de la recherche, qui jour après jour luttent pour la justice et gardent la mémoire vivante. #ProhibidoOlvidar #HastaEncontrarles (Interdit d’oublier #Jusqu’àcequ’on les trouve)